1892 - Fondation de l'entreprise familiale par Joseph Schleiper Alors que Victor Horta construit l'hôtel Tassel à Bruxelles et que François Hennebique dépose le brevet du béton armé, Joseph Schleiper se lance et crée une petite entreprise familiale au 51 de la rue Botanique à Bruxelles. Il est vitrier. Il décide de fabriquer des miroirs et des cadres de façon artisanale dans le respect du savoir-faire d'artisans spécialisés. Son fils Daniel apprend le métier et travaille comme ouvrier dans la petite entreprise paternelle. A ses moments de liberté, il prend part à des compétitions de natation.
1917 - Création de la 'Compagnie des Produits Lithine' Daniel Schleiper, domicilié rue Botanique n°51 s'associe avec N. Delporte, savonnier fabricant de Produits Chimiques, habitant rue Quinaux n°56. Les soussignés fondent une association pour l'exploitation d'une poudre à lessiver dénommée 'lithine' et d'un produit destiné à remplacer le savon. L'association s'appelle 'Compagnie des Produits Lithine' et est créée le 6 juillet 1917. Le siège social est fixé rue James Watt n°35.
1919 - Daniel Schleiper ouvre un magasin à Blankenberge Le fils, Daniel Schleiper reprend le flambeau et veille désormais aux destinées de l'atelier familial. Il s'installe à Blankenberge. Les dégâts provoqués par la guerre y sont très importants et les vitriers manquent. Il devient agent d'usine Dolken & Co gmbh.
1925 - Fondation de la maison Dumont - Schleiper à Bruxelles Retour vers la capitale. Schleiper s'associe avec un encadreur, Maurice Dumont. La maison Dumont-Schleiper voit le jour au 46, rue Gray. Une dizaine d'ouvriers travaillent pour la société. Les exportations vers la France sont nombreuses. L'activité principale se tourne vers la fabrication de cadres et les encadrements.
1936 - Crise financière, les associés se séparent et Schleiper reste à Bruxelles La crise éclate en France et la monnaie locale est dévaluée de 40%. L'association Dumont-Schleiper est au bord de la faillite. Les deux associés se séparent. Dumont part en France, Schleiper reste rue Gray. La situation se stabilise.
1940 - Romain Schleiper épouse Elise De Greef, créatrice de mode Romain, petit fils du fondateur se marie avec Elise De Greef, créatrice de mode, le 21 décembre 1940. Ils ont tous les deux 20 ans ! Elle a fait ses études à Bisschofsheim et enseigne à l'Institut Couplet. Elle contribue à la création de nouveaux profilés d'encadrement. Romain et Elise sont de grands amateurs d'art et notamment d'art oriental, la passion d'Elise.
1945 - Fondation de la société Schleiper & Fils sprl Schleiper et Fils SA est fondée. La guerre est finie, et Romain (Valère), prend la direction de la société. Passionné d'objets anciens, dès l'âge de 15 ans, il parcourt le Vieux Marché à la recherche de livres anciens, puis de tableaux représentant des chevaux... C'est à ce moment-là que s'amorce le grand développement des vitriers-encadreurs.
1947 - Achat des bâtiments rue de l'Etang à Etterbeek La société Schleiper construit ses nouveaux bâtiments de la rue de l'Etang. Ils s'ajoutent à ceux de la chaussée de Charleroi...la société prend de l’extension. . La même année, l'OMS retire l'homosexualité de la liste des maladies mentales. Le monde change enfin...
1948 - Les établissements Schleiper & Fils participent pour la première fois au Salon professionnel du Meuble à Bruxelles Première exposition en avril au Salon Professionnel du Meuble de Bruxelles. Schleiper décide de se montrer et d’exposer son savoir-faire. 1948, c'est aussi l'année où les femmes acquièrent le droit de vote aux élections législatives. Elles ne pouvaient voter jusqu'alors (depuis 1920) que pour les élections communales.
1950 - La reproduction en couleur se développe, le cadre se démocratise Fin des années 40. On arrête de photographier des scènes de guerre et la photographie devient un objet de décoration. Cartier Bresson, Doisneau, Helmut Newton, Helen Levitt... contribuent à la popularité grandissante de la photo. En parallèle, la reproduction en couleur d’œuvres d'art se développe. Schleiper crée des cadres simples et peu chers destinés à recevoir ces oeuvres en deux dimensions.
Années 60 - Création de la formule de location de 2000 'cadres en option' pour les artistes et galéristes Schleiper crée la formule « Cadres en Option ». Plus intéressante pour l'artiste que d'acheter le cadre, Schleiper propose près de 2000 cadres aux mesures standard à 10% de leur valeur pour permettre à de jeunes artistes d'exposer dans des conditions optimales. En cas d'achat définitif, l'artiste ne doit plus payer que les 90% restants. Une façon efficace de contribuer à la promotion des arts.
A partir des années 60 - Schleiper s'expose en Belgique et à l'étranger De 1966 à 2004, la société Schleiper continue d'exposer dans différents salons professionnels de Bruxelles (Salon du Meuble), Munich, Cologne, Birmingham, Paris (Equiphotel), Francfort, Lyon (Meuropan) ou encore Bâle avec comme objectif de toucher les revendeurs et les équipementiers de grands hôtels jusque dans le nord de l'Afrique.
1966 - Eric Schleiper modernise la gestion des stocks avec des programmes de logistique innovants La Chine entame sa révolution culturelle. Eric Schleiper, arrière petit fils du fondateur, a 26 ans et lance sa révolution informatique. Il est diplômé de sciences politiques et diplomatiques. Il investit dans un programme de gestion des stocks pour les encadrements. Situation directe des commandes, délais de fabrication, facturation et mouvements de stocks, tout est maîtrisé. Une vraie révolution pour l'entreprise familiale encore imprégnée de l’expérience des anciens en matière de logistique.
1968 - Eric Schleiper rencontre Jeannette 'Claude' Jongen Le 12 mars, Eric Schleiper épouse Claude Jongen, arrière-petite fille du célèbre compositeur et organiste belge Joseph Jongen (1873-1953). Diplômée de sciences politiques et diplomatiques, Claude Jongen est passionnée d'art.
1969 - Le Prince Albert visite le stand de Schleiper à la Foire du Livre Le Prince Albert se rend à la Foire du Livre de Bruxelles. Il visite le stand Schleiper. Est-il venu en voiture ? Rien n'est moins sûr car les statistiques du Ministère des Affaires Economiques annoncent que seul un habitant sur 7 possède une voiture dans le Marché Commun.
1970 - Démocratisation des reproductions grands formats grâce aux lithographies, sérigraphies et gravures L'arrivée de grandes éditions de lithographies, gravures et sérigraphies engendre une démocratisation de l'art pictural et génère un besoin croissant d'encadrements. Schleiper commercialise le cadre en aluminium « Instalu » à monter soi-même. Installu et Instalu Clips, démontable, interchangeable et universel (encadrement d'une gravure mince comme d'un tableau avec châssis) sont mis sur le marché sans intermédiaire et à des prix sans concurrence. Schleiper, sans le savoir, lance ainsi déjà la tendance do-it-yourself : DIY !
Création d'un point de vente Chaussée de Charleroi à Bruxelles Un point de vente s'ajoute Chaussée de Charleroi. L'encadrement standard poursuit sa lancée, Schleiper lance le « sur mesure ».
1975 - Schleiper devient le principal annonceur du 'Jalons des Arts' Schleiper s'intéresse aux medias modernes. Il est le principal annonceur de la revue le « Jalon des Arts », le mensuel belge d'actualité artistique. Ce support, tiré à 20.000 exemplaires, s'adresse à tous les professionnels et amateurs d'art. Si la publication n'appartient pas officiellement à la société Schleiper, celle-ci détient la majorité des parts de cette maison d'édition. Ce sera la vitrine de la Galerie Claude Jongen. Dans le monde, l'ONU proclame l'année de la femme et Microsoft voit le jour.
1975 - Ouverture de la galerie Claude Jongen Ouverture de la Galerie Claude Jongen (épouse d'Eric Schleiper), chaussée de Charleroi, avec une exposition unique : Picasso raconté par Marie-Thérèse Walter, modèle et égérie de Picasso pendant une dizaine d'années et maman de Maia, sa fille. Les oeuvres exposées appartiennent à Marie-Thérèse Walter. L'ouverture de la Galerie Claude Jongen est unanimement saluée par la presse comme une initiative audacieuse : 220m de cimaises, 1000m² d'espace arboré à l'extérieur, des espaces modulables sur deux niveaux qui accueilleront des expositions intimistes comme des manifestations de grande envergure. Le lien entre les fournitures artistiques et les oeuvres des artistes est enfin établi.
1977 - Ouverture d'un comptoir de fournitures pour artistes dans le bas de la galerie Suite à la demande incessante des artistes qui viennent exposer leurs oeuvres dans la Galerie Claude Jongen, la famille Schleiper décide d'ouvrir un comptoir de fournitures pour artistes. Le comptoir s'installe au bas de la galerie, chaussée de Charleroi. Schleiper se lance dans une nouvelle voie, colorée par des milliers de tubes de peinture. Les fabricants de peinture Daler et Rowney sont les premiers à accorder leur confiance à Schleiper. Et ils ont raison.
1979 - Ouverture d'un magasin à Paris Ouverture du magasin de Paris, rue Penthièvre, à un saut de puce du Faubourd St Honoré et des Champs Elysées.
1980 - Le magasin de Bruxelles s'agrandit et propose trois nouveaux départements Le magasin de Bruxelles s'agrandit (surface de vente et parking 3000m²) et offre désormais aux clients trois départements : les Beaux Arts, les Techniques Graphiques et le Papier sous toutes ses formes. Les journalistes, quant à eux, écrivent des papiers enflammés sur la fin de l'apartheid au Zimbabwe et sur la fondation de Solidarnosc en Pologne. Le monde change. Scheiper aussi.
1980 - Schleiper lance ses produits artistiques en marque propre Les magasins Carrefour lancent leur MDD « Marque De Distributeur » en proposant aux clients des « produits libres ». C'était en 1970. Schleiper décide d'emboîter le pas à la grande distribution et lance ses produits en marque propre. Tout juste dix ans après. Les MDD ont fait leurs preuves, Schleiper peut se lancer en toute sécurité. La société lance aussi des campagnes de pub « choc » en matière de prix ! Le Plexiglas fait son apparition dans l'assortiment Schleiper. Achille, l'ouvrier spécialisé, est envoyé en Allemagne en formation. Une vraie révolution !
1982 - Schleiper lance le 'kit student' Schleiper a l'idée de proposer des « kits » étudiants. «Réduire de 30% son budget scolaire, c'est possible !» !
1983 - Schleiper introduit son propre 'barre code' L'heure est à la mondialisation. Mais presque tous les fournisseurs de Schleiper sont belges. Les fournisseurs de carton, de papier, les fabricants de tissu, les verriers (Verstraeten), les marchands de bois (Trap), les moulures vernies (Bazin), les fabricants de baguettes aluminium, le tissu (Lagae)... Être belge et faire tourner l'économie belge, un des mots d'ordre de la société Schleiper. C'est aussi l'année où Schleiper introduit son propre « barre code ».
1984 - Hommage à Folon dans les 'Jalons des Arts' en référence à la gamme papier qui s'agrandit Folon, aquarelliste, peintre et sculpteur belge, né en 1934 et décédé en 2005. Fournisseur attitré des artistes, Schleiper lui rend hommage à sa façon en publiant cette publicité dans la revue le « Jalon des Arts », le mensuel belge d'actualité artistique. La publicité « Une gamme de papier infinie » faisant référence à l'assortiment proposé par le magasin Schleiper, apparaît en 4ème de couverture du magazine.
1984 - Ouverture du magasin d'Anvers C'est aussi cette année-là que Schleiper ouvre un deuxième magasin à Anvers (2000 m²) et que Apple lance l'ordinateur personnel Macintosh au prix de 2495$ qui conquiert rapidement 10% du marché.
1985 - Schleiper crée une petite révolution avec le verre anti-reflet Le nouveau verre anti-reflets 100% transparent est une vraie révolution en matière d'encadrement. Il réunit les avantages du verre traditionnel et du verre anti-reflet en conservant toute la transparence du verre.
1985 - La société propose 850 profils différents de moulures La société propose pas moins de 850 profils différents de moulures. Les unes sont créées à partir des matrices originales de l'arrière grand père Joseph, les autres sont dessinés par Elise Schleiper-De Greef et sa belle-fille Claude Jongen. Visiter les foires permet de devancer la mode et de la créer. C'est ce qu'elles font. Le dessin des moulures se fait d'abord sur papier; un fragment est réalisé à la toupie, soumis aux vendeurs qui confirment l'originalité du modèle. Une synergie au sein de l'entreprise. Elise étend également la collection de mollettes (matrices) de l'atelier en rachetant le matériel de sociétés mises en faillite (principalement en France).
Schleiper forme son propre personnel aux différents métiers de l'encadrement, puisqu'aucune école d'encadreurs n'existe Depuis le début. Il n'existe plus d'écoles d'encadreurs ou de sculpteurs sur cadre. Les instruments et outils, quant à eux, deviennent introuvables. Depuis toujours, Schleiper forme lui-même son personnel et crée, sans le vouloir, une véritable école de sculpteurs sur bois, d'encadreurs, de doreurs à la feuille, de spécialistes du faux marbre, de la technique au peigne, du faux écaille de tortue, du faux ivoire.
1985 - La société Schleiper transforme ses magasins en libre service C'est en 1957 que les magasins Delhaize décident de lancer un premier magasin en libre-service. C'est le premier en Europe. 30 ans plus tard, en 1985, la société Schleiper emboîte le pas et transforme également ses magasins en libre-service. Les comptoirs disparaissent au profit de rayonnages accessibles. Le service au client reste néanmoins la priorité de la société et le nombre de vendeurs ne diminue pas pour autant.
1987 - La société propose un 'Pen Shop' à Bruxelles Schleiper propose un « Pen Shop » au sein de son magasin de Bruxelles.
1988 - Ouverture du magasin de Gand Le nouveau magasin de Gand voit le jour (2000 m²), le long de la Lys au sein du quartier commerçant de la ville universitaire. Le bâtiment a été reconstruit sur les bases d'une ancien hôtel de maître ayant appartenu à la famille d'Udekem d'Acoz, plus précisément à l'oncle de Mathilde, reine des Belges.
1990 - Les magasins proposent des fournitures scolaires et des loisirs créatifs Fin 80/début 90. Schleiper diversifie encore son offre et propose désormais une gamme Papeterie (fournitures scolaires et articles de bureau) et Loisirs Créatifs dans tous ses magasins.
1991 - Ouverture du magasin de Liège Naissance du World Wide Web (www), la toile de l'Internet, qui ouvre ce réseau au grand public. Et à sa mesure, Schleiper continue de s'étendre en ouvrant un 3ème magasin, à Liège cette fois (1200 m²). La société lance la « Carte Privilège ».
1994 - Ouverture du magasin Art Shop de la rue du Midi à Bruxelles Paul Delvaux décède au mois de juillet. Peintre surréaliste belge, celui qui s'inspirait de tout ce que la ville propose, notamment de la Foire du Midi, n'aurait pas renié le choix de Schleiper de s'installer au coeur de la ville. Un nouveau magasin voit le jour rue du Midi, l'Art Shop (150 m²), à côté de l'Hôtel Bedford. Après 19 ans d'exploitation, le magasin de la rue du midi, seul magasin en location de la société Schleiper, doit être transféré au 63 rue de l'Etang à Etterbeek. En effet, Monsieur Quatacker de l'hôtel Bedford, souhaite récupérer les locaux réservés au magasin pour son hôtel.
1995 - Karin, fille unique de Claude et Eric Schleiper entre dans la société. Karin, la fille unique d'Eric Schleiper et de Claude Jongen, née en 1971, entre dans la société. Diplômée d'un Business & Administration de la VUB-Vesalius College, et armée d'un diplôme post-universitaire en management, elle qui a été baignée pendant toute son enfance dans le monde de l'art, met toute son énergie dans la société. Elle épouse un jeune suédois, Jon Hanson, le 29 septembre 1997. Lui aussi féru d'économie et diplômé de la Stockholm School of Economics.
1995 - Schleiper invente les cadres 'prêts à porter de luxe', aux mesures standards et toujours de stock L'encadrement rapide est devenu une nécessité. Schleiper crée un service supplémentaire : les cadres « prêts à porter de luxe ». Fabriqués aux mesures standards, ils sont toujours de stock et présentent la finition parfaite du « sur mesure ».
1996 - Schleiper ouvre son 5e magasin, à Namur Dolly, la célèbre brebis clonée cette année-là, a donné des idées à Eric Schleiper qui ouvre son 5éme magasin, à Namur (800 m²). Loin d'être des copies conformes des précédents, chaque magasin a sa personnalité, son caractère et son personnel, attaché à son espace de vente.
2000 - Ouverture du magasin d’Hasselt, pour lequel l’artiste Octave Landuyt crée un bronze Le passage informatique vers l'an 2000 se passe sans encombres malgré les craintes des grandes sociétés. Schleiper en profite pour ouvrir un nouveau magasin à Hasselt. Un bronze d'Octave Landuyt, artiste belge, ami de la famille, trône au-dessus de l'entrée du magasin désormais appelé « Octave Landuyt Building ». Mi ange, mi homme, la statue mesure 2 mètres de haut. L'ouverture du magasin de Hasselt coïncide avec une exposition des oeuvres de l'artiste dans le magasin. Mars 2000 voit l'éclatement de la bulle Internet. C'est ce moment que choisit Schleiper pour lancer son site Internet et se lancer sur la toile.
2002 - Ouverture du magasin Schleiper à Courtrai Située à 30 km à peine de Lille, la ville de Courtrai était la cible idéale pour l'ouverture d'un nouveau magasin Schleiper (reprise du magasin Pictural Art). Situé à 50 mètres du « K in Kortrijk », centre commercial sur trois niveaux, le magasin est au centre du piétonnier commerçant. C'est à Courtrai que la première rue piétonne de Belgique, la Courte Rue des Pierres, a vu le jour. 2002 est l'année où Cyril voit le jour. Fils de Karin et Jon, il représente la 6ème génération Schleiper/Hanson.
2011 - Ouverture du magasin Be Creative by Schleiper à Bruxelles Be Creative by Schleiper voit le jour à Bruxelles. 1000m² de loisirs créatifs. La première phase des travaux d’agrandissement des bâtiments de la rue de l'Etang avait été menée à bien en 1990. Une nouvelle usine et un nouveau dépôt avaient vu le jour. La deuxième phase est réalisée en cette année 2011. Un magasin essentiellement dédié au DIY et donc complètement différent en terme de concept des autres magasins Schleiper. Petit clin d'oeil à la santé, depuis juillet 2011, il est interdit de fumer dans tous les lieux publics fermés du royaume. Be Creative by Schleiper peut respirer !
Photo de droite : 4 générations réunies : le grand-père Romain (assis à gauche), à côté de lui, Cyril, l'arrière petit-fils. Debout, à gauche, Eric, le fils de Romain et à côté de lui, Karin, sa fille.
2011 - Boom du 'Do It Yourself', Schleiper développe sa communication lors des événements créatifs La tendance actuelle du « Faire soi-même » qui, depuis 2007, voit la croissance des ressources de DIY en ligne en forte progression et le développement de la communication sur la toile, les blogs, Youtube... Il n'en fallait pas plus pour motiver la société Schleiper à multiplier sa communication au client. Présente sur les foires de loisirs créatifs, les salons et autres manifestations du DIY, la société organise également des « Journées Folles » deux fois par an dans le magasin Be Creative By Schleiper. Une manifestation « créative » attendue par tous les clients !
Schleiper crée un partenariat avec les ateliers 'YouDo' et propose des ateliers créatifs Présenter en magasin des produits soigneusement choisis fait partie des préoccupations de la société. Les proposer en démonstration pour en démontrer le fonctionnement est devenu à présent une habitude lors des Journées Folles. Il restait à organiser des ateliers pour faire le lien entre l'achat du produit et la pratique de celui-ci. C'est en 2011 que la société Schleiper et la société YouDo décident de devenir partenaires. Installée au premier étage du magasin Be Creative By Schleiper, YouDo réunit pas moins d'une trentaine de professeurs disposant chacun d'une ou de plusieurs compétences. Les ateliers s'adressent aux débutants, adultes, enfants et ados, et abordent tous les domaines du loisir créatif.
Le département encadrement tourné vers le futur: Le savoir-faire d'hier, les équipes d'aujourd'hui et les projets de demain Le savoir-faire au bout des doigts. La société a bien sûr évolué depuis 1892 et avec elle son personnel. Les équipes ont changé au fil des années, toujours aussi compétentes et motivées.
2013 - Nouveau règne: Schleiper reçoit à nouveau le titre de Fournisseur Breveté de la Cour de Belgique La société Schleiper est fournisseur de la Cour. Ce brevet permet à la société, qui en est honorée, de faire mention de leur reconnaissance. Un privilège, mais aussi des obligations : de qualité, bien évidemment, et de déontologie. Enfin, le point le plus important peut-être «les détenteurs du titre s’assurent que la qualité de son service ne s’arrête pas aux portes du Palais, mais s’applique également à tous ses clients. Qui a dit que le client est roi ? » (sic). La certification doit être réintroduite à chaque nouveau règne.
2014 - Schleiper lance son nouveau site internet Eric Schleiper, aujourd'hui âgé de 72 ans, continue d'affirmer : « Moi je ne travaille pas, je m'amuse ! ». En constante recherche d'amélioration pour ses différents points de vente et pour les produits de son assortiment et passionné par ce que la toile peut proposer, Eric Schleiper est en parfaite harmonie avec Jean Philippe Chavatte, à la tête de la célèbre agence française Carré Noir (agence de Design Stratégique du groupe Publicis) lorsque celui-ci déclare : « La technologie utile, c'est celle qui rend service au client ». Schleiper lance son nouveau site internet !
2019 - Début des travaux pour un nouveau projet à Anderlecht Schleiper acquiert un terrain à Anderlecht et engage des travaux d'envergure pour créer, dans les deux ans, un centre de distribution plus fonctionnel et centraliser ses bureaux administratifs. Cette plateforme logistique et commerciale de 4000m² correspondra aux derniers critères en matière d'énergie verte.
2021 - Ouverture à Anderlecht dn nouveau magasin et centre logistique pour les achats en ligne Avec plus de 60.000 articles et une gestion des commandes immédiate, la nouvelle implantation accueillera tant le grand public que les professionnels et revendeurs. Ce centre logistique assurera également la distribution des achats en ligne. Plus d'info ici